Selon Christophe Castaner : radicalisation dans la police 106 dossiers actuellement étudiés.

Publié le 5/02/2020

 

Christophe Castaner

 

Les services de police étudient “106 cas” de policiers suspectés de radicalisation depuis le quadruple meurtre au sein de la préfecture de police le 3 octobre 2019 par un informaticien travaillant à la direction du renseignement, a déclaré mardi Christophe Castaner. “Cela ne veut pas dire qu’ils sont radicalisés”, a précisé Christophe Castaner sur BFMTV, mardi 4 février. Et d’ailleurs, “je voudrais que les choses soient claires : 106 cas sur 150 000 policiers”, a rappelé dans la foulée le ministre de l’Intérieur. “Il y a un contrôle particulier, des examens qui sont faits, pour être sûr. Mais attention : ce n’est pas parce qu’on est musulman qu’on est radicalisé, ce n’est pas parce qu’on est juif qu’on est radicalisé, ce n’est pas parce qu’on serait athée et fan d’un club de football qu’on serait radicalisé. Il faut remettre les choses à leur place”, a-t-il ajouté. Seize personnes “écartées” des services de renseignement français depuis 2014 “On a des signalements, on les étudie avec une grille d’évaluation précise et ce sont des femmes et des hommes spécialisés dans la lutte contre la radicalisation qui se prononcent et qui nous disent les recommandations qu’il faut faire”, a précisé le ministre de l’Intérieur. Le risque existe surtout maintenant qu’on a un risque terroriste endogène qui part de femmes et hommes non soupçonnés, non identifiés”.

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